J’aime bien les publicités, depuis toute petite. Souvent je les critique, des fois j’achète ce qu’elles me disent d’acheter (bééééééééééé !) mais rarement je les chante.
Depuis la première fois que j’ai entendu ce petit air là à la télé, lors des publicités : njut njut njut njut njut njut... avec sa chansonnette gai, enfantine et enjouée (et difficile à prononcer sans passer pour un niout) elle me trotte dans la tête.
Alors comme une neuneu, par moment (oui, des fois ça m’arrive, mais pas si souvent que ça, rassurez vous, je prends des cachets et depuis ça va mieux, un peu) je sors des njut njut njut njut njut sur le petit air maintenant bien connu. Et on me regarde, comment dire? Bizarrement. (Je ne vois pas du tout pourquoi. Oui bon, si un peu. Mais c’est injustifié moi je dis. Viva la liberté d’expression! youou!)
Mais comme j’arrive à me contrôler en public (ouf, un peu de dignité sauve) ça va, c’est Poupidou qui y a droit juste, le pauvre. Mais il a l’habitude, dès que j’entends un air un peu entrainant, que je n’aime pas forcément d’ailleurs, il me rentre dans la tête et après pour m’en débarrasser il me faut plusieurs jours. Ou bien il me faut un autre air encore plus entêtant, et donc encore plus galère à me sortir de la tête. Injuste cercle vicieux !
Bon ça va, Ikéa j’adore, (leurs meubles, leurs lampes et leurs gâteaux avec du daim et du chocolat, troooop bons) alors avoir une de leur chanson de pub dans la tête il y a pire. Mais c’est lorsque je me mets à fredonner des « on s’attache et on s’empoisonne » de mr Mae, ralala ça ne va plus du tout là par contre…
Pour vous expliquer plus concrètement, voici les vidéos responsables de mon état:
Njut dans 27 m carré
Njut dans le petit espace
Njut dans un fauteuil